Tout d'abord, la chanson utilisée est Apologize de Silverstein. Cette chanson traite d’une peine d’amour et du fait qu’il est inutile de s’excuser ou de revenir en arrière car il est trop tard. Pour commencer, la relation amoureuse est symbolisée par le livre. La fille écrit un autre chapitre pour indiquer que l’histoire n’est pas encore achevée. À un moment donné, les pages sont vierges, signifiant qu’il y a un vide. Il y a également une ombre seule, située sur le côté droit, laissant place à quelqu’un qui n’est pas là et qui devrait l’être. Lorsque le livre se ferme, c’est que c’est bel et bien terminé. L’horloge est en accéléré, représentant que le temps où tout pouvait revenir comme avant est révolu. Le jeu d’acteur, interprétée par Melody, représente l’attente où la fille espère encore que ce n’est pas la fin.
Par ailleurs, les images racontant l’histoire sont en lien avec les paroles de la chanson. Le récit peut rejoindre les gens car c’est une situation probable d’arriver dans la vie de tous les jours. La diversification des images, des angles de caméra, l’effet accéléré (utilisé à deux reprises, pour l’horloge et les pages qui tournent) ainsi que le dynamisme de la vidéo sont accrocheurs. Les effets de transition séparent bien chaque partie. Par exemple, lorsqu’il y a un zoom vers l’horloge, il y a après un jeu d’acteur qui s’ensuit. Le groupe de musique est crédible, puisqu’il utilise de vrais instruments, des fils, des haut-parleurs, etc. De plus, la chanteuse principale connaissait les paroles et les notes à la guitare. Les titres ainsi que le générique sont composés de lettres de couleur rouge afin d’attirer le regard. En effet, le rouge ressort du blanc, en arrière-plan. Les différentes séquences vidéo sont placées à un endroit précis et calculé par rapport aux mesures de la chanson pour donner du rythme. En bref, la vidéo est distrayante parce qu’il y a de la variété, de la rapidité et que les longueurs sont inexistantes.
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